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- LITTERATURE -
Responsable associatif : Michel Sestier
Maison des associations – salle des Toiles
Lundi de 14h30 à 16h : 9 oct - 13 nov - 11 déc - 15 janv - 12 fév - 11 mars.
. 36 € pour 6 séances.
Geneviève Journault, professeure de philosophie retraitée, responsable de la librairie Le Sphinx
9 octobre « Alexis Zorba »
« Que peut bien vouloir signifier cette rencontre d’un intellectuel, d’un être « cérébral », avec un être de « sang », une force vive telle que Zorba ? »
Roman de Nikos Kazantzaki (auteur grec 1883-1957) écrit en 1946.
12 février « Rentrez chez vous Bogner ! »
« Quand l’Histoire ou « son » Histoire va au-delà de ce que peut supporter un être humain, qu’advient-il ? »
Roman de Heinrich Böll (auteur allemand 1917-1985) écrit en 1953. Prix Nobel de littérature en 1972.
*Suzel Lembré Tamboise, professeure de littérature, retraitée.
11 décembre
« Un petit enfant pleure à Combray et il en sort un chef d’oeuvre…. » Jean-Yves Tadié.
Préface de « Les 75 feuillets » de Marcel Proust.
Ici commence « La recherche du temps perdu ». Editions Bernard Le Fallois
- Marcel Proust et son étoile familiale.
- À la recherche des lieux perdus.
- Marcel Proust du côté Juif.
- Le musée imaginaire de Marcel Proust : les tableaux dans La recherche du temps perdu.
Si l’envie est là, lire Le temps retrouvé, plus particulièrement Le Bal des têtes (infra).
*Emmanuel Merle, enseignant retraité, agrégé de lettres en classes préparatoires, auteur d’ une trentaine de livres de poèmes , il est traducteur (anglais-français) de la poésie de David Ferry et de Jennifer Barber. Il collabore avec des plasticiens pour des livres d’artistes. Il est président de l’association culturelle « L’Espace Pandora » à Vénissieux.
13 novembre « Dalva » un roman de Jim Harrison paru en 1988 aux Etats-Unis.
15 janvier Autour de la poésie de Richard Brautigan, Raymaond Carver, Jim Harrison et Kenneth Rexroth.
11 mars « Début et fin de la neige », un livre de poèmes de Yves Bonnefoy.
« Le rapport que l’homme entretient avec la « nature »- peut-être faudrait-il écrire plutôt le « vivant »- est une thématique que les romanciers et les poètes, avant même la crise climatique et l’effondrement de ce vivant, ont toujours privilégié comme s’il y avait une connivence entre écriture poétique et rapport immédiat au monde.
Les espaces nord-américains sont l’un des lieux de cette expérience et la seconde moitié du XXème siècle aux Etats-Unis a été une période particulièrement intense de créativité littéraire : c’est ainsi qu’est né la notion de nature writing qui continue d’irriguer la littérature moderne et universelle.
Les romanciers nouvellistes et poètes Jim Harrison, Raymond Carver, Richard Brautigan et Kenneth Rexroth en sont quelques acteurs privilégiés. En France aussi une part importante de la création poétique contemporaine cherche à retrouver la proximité avec le vivant naturel : le poète Yves Bonnefoy y a consacré une part essentielle de son œuvre.
Comment l’écriture romanesque et la rédaction du poème rendent-ils espoir aujourd’hui en un rapport renouvelé au monde ? Que peuvent le roman et surtout la poésie en temps de crise ? ».